Elle aime. Elle le dit, se contredit. Elle se reprend. Elle précise, se corrige. Elle décrit. Elle invente parfois. Elle parle sans fin de son amour.
« Avec J’aime je creuse l’intimité d’un amour et ses contradictions, ses aveux et ses ambitions. Sur scène peu d’éléments pour une infinité de combinaisons : ampoules soufflées, guindes, poulies, sol apparemment tangible alors qu’il n’est que de farine. »
PRESSE
« En une heure, la pièce est une leçon de dramaturgie dans l’interprétation théâtrale comme psychanalytique du premier roman de Nane Beauregard (2006) enfin réédité chez P.O.L. […] Magistral. »
LIBÉRATION
Laurent Goumarre / Le 11 juillet 2023
« Litanie pour une actrice. Sur l’amour. Inconditionnel même s’il n’est pas aveugle.[..] Laure Werckmann, transformée à son tour par le récit, accomplit une sublime métamorphose. Une traversée de l’amour qui semble avoir le temps pour allié. » TTT
TÉLÉRAMA
Emmanuelle Bouchez / Le 20 juillet 2023
"Dans J’aime, Laure Werckmann nous fait partager avec force et délicatesse les sentiments amoureux d’une femme.
Et on l’écoute. Vraiment."
Dominik Moll, réalisateur de "La nuit du 12".
J’AIME S’EST CONSTRUIT NOTAMMENT À PARTIR DES ÉCRITS DE ANNE DUFOURMANTELLE.
La première métaphore de la psyché est spatiale. Les deux événements qui président à la vie humaine restent impensés, la naissance et la mort. La vie s’écoule dans ce territoire qui commence et s’achève entre ces deux évènements. L’espace est notre métaphore première. Parce que nous sommes au dedans une solitude qui a pour premier refuge l’espace, peau maternelle, odeur, bras, couffin, chambre, cet espace va s’élargissant en cercles concentriques jusqu’à envisager l’infini, l’espace absolu en creux, jamais vu au-devant de nous, sauf dans le miroir, notre propre silhouette. Se pourrait-il qu’il en soit de même psychiquement, que cet espace vide projeté intérieurement (le moi) sur l’espace au dehors puisse acquérir dans le réel une autonomie qui lui est propre.
DISTRIBUTION & CRÉDITS
J’aime est sélectionné et soutenu par la Région Grand Est et l’UE-FEDER
dans le cadre du dispositif Festival Off Avignon.
Adaptation, mise en scène & jeu
Laure Werckmann
Texte (éd. P.O.L; 2006)
Nane Beauregard
Création lumière
Philippe Berthomé
Collaboration à la scénographie
& régie plateau
Angéline Croissant
Création musicale
Olivier Mellano
Collaboration à la mise en scène
Noémie Rosenblatt
Collaboration au costume
Pauline Kieffer
Régie générale
Louisa Mercier
Régie lumière & son
Louisa Mercier ou Zélie Champeau
Construction
Éric Morelon & Henri Aribert-Desjardin
Photographe de plateau
Adrien Berthet
Chargée de diffusion
Charlotte Laquille
Attachée de Presse
Maison Message : Virginie Duval de Laguierce, Eric Labbé et Léa Soghomonian
Production
La Compagnie Lucie Warrant avec Artenreel#1 :
Joël Beyler et Alexandra Puillandre
COPRODUCTION
Taps – Strasbourg / Le Théâtre de la Cité – CDN Toulouse Occitanie
AVEC LES SOUTIENS DE
La DRAC Grand Est – Le Conseil Régional Grand Est – La ville de Strasbourg – L’agence Culturelle Grand Est
ET NOS PLUS VIFS REMERCIEMENTS
À La Villa des Illusions – Guy Savoy – Le Festival Théâtre au jardin – La Compagnie Facteurs Communs – Christian Lacroix – Cécile Kretschmar – Virginie Watrinet
Spectacle tout public dès 15 ans – durée 60 mn